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Éjaculation préococe: la femme reste insatisfaite. Absence d’éjaculation: la femme est satisfaite.

In Amour, Sexualité on 15 January 2012 at 14:36

Extrait tiré du livre De la pérennité du couple: le savoir-faire en amour et la technique sexuelle publié par le Docteur Darlambach. Genève. 1979.

Éjaculation précoce: la femme reste insatisfaite

Elle ressent jusqu’au tréfonds d’elle-même ce manque de maîtrise de la part de son partenaire comme une grave maladresse qui la prive brusquement de la satisfaction physique et psychique vers laquelle elle aspirait de tout son être. Qu’elle ne profère pas de mots désobligeants à l’égard de l’homme, mais qu’elle soit amoureusement compréhensive et prenne les mesures appropriées pour soulager sa propre tension sexuelle.

L’amour, c’est l’étincelle. L’éjaculation précoce, c’est le coupe-circuit.

Absence d’orgasme et d’éjaculation chez l’homme: la femme est satisfaite

La femme est satisfaite mais, profondément aimante, peut éprouver un certain regret de voir son partenaire en panne juste devant le dernier ressaut de l’excitation. Elle doit alors surmonter son léger désarroi, qui restera inaperçu, en lui souriant, en le cajolant, en le remerciant, et s’offrir à nouveau à lui dans une position coïtale plus favorable au frottement du pénis, après les caresses de la fellation par exemple.

Le cœur de la femme s’attache plus par ce qu’il donne que par ce qu’il reçoit.

"In September 30, 1979, Audre Lorde took the stage as part of New York Institute for the Humanities' conference on Simone de Beauvoir called The Second Sex: Thirty Years Later."

La danse, les curés et les confesseurs

In Moeurs, Religion on 6 January 2012 at 13:48

Note de l’éditeur: Un grand merci à Ianick Marcil pour le tuyau.

Extrait tiré du livre Théologie morale à l’usage des curés et des confesseurs. Publié par Mgr. Thomas M.J. Gousset. Paris: Jacques LeCoffre et cie, Libraires, 1848.

Rarement la danse, même décente, est sans quelque danger: le plus souvent elle est dangereuse, plus ou moins, suivant les circonstances et les dispositions de ceux qui la fréquentent; il serait donc imprudent de la conseiller ou de l’approuver. Mais  autre chose est d’approuver la danse; autre chose, de la tolérer. Un pasteur fera tout ce qu’un zèle éclairé lui permettra de faire, pour empêcher les danses et les bals de s’introduire dans sa paroisse. Il évitera toutefois d’aller trop loin, de crainte d’être plus tard dans la nécessité de reculer; ce qui compromettrait son autorité. Si, malgré sa vigilance et ses exhortations, la danse s’introduit et s’établit dans sa paroisse, il doit la tolérer, sauf les cas suivants:

1° Un confesseur ne peut absoudre ceux qui persistent à vouloir fréquenter les danses regardées comme étant notablement indécentes, soit à raison des costumes immodestes qu’on y porte, mulieribus nempe ubera immoderate nudata ostendentibus, soit à raison des paroles obscènes qu’on s’y permet; soit enfin à raison de la manière dont la danse s’exécute, contrairement aux règles de la modestie. On excuserait cependant une femme qui, ne se permettant rien de contraire à la décence, prendrait part à la danse uniquement pour faire la volonté de son mari, auquel elle ne pourrait déplaire sans inconvénient.

2° Il ne peut absoudre ceux qui fréquentent les bals masqués, à raison des désordres qui en sont inséparables.

3° II ne doit point absoudre ceux qui ne veulent pas renoncer à l’habitude de danser pendant les offices divins.

4° Que la danse se fasse d’une manière convenable ou non, on ne peut absoudre les pénitents pour lesquels elle est une occasion prochaine de péché mortel, à moins qu’ils ne soient sincèrement disposés à s’en éloigner. Mais, pour que la danse soit une occasion prochaine de péché mortel, il ne suffit pas qu’elle occasionne de mauvaises pensées ou autres tentations, même toutes les fois qu’on y va; car on en éprouve partout, dans la solitude comme au milieu du monde.

Signataires de la Convention de Seneca Falls de 1848, la première convention pour les droits des femmes à se dérouler sur le sol des États-Unis.

Chambre de malade

In Santé on 4 January 2012 at 08:11

Extrait tiré du livre Larousse Ménager. Publié avec la collaboration de R.-E.-Jeanne Chancrin et de nombreux techniciens. Paris: Librairie Larousse, 1955.

Quelle que soit la maladie en cause, les soins seront facilités et le bien-être du malade amélioré par les précautions élémentaires suivantes, qui dépendront des possibilités et circonstances relevant de chaque cas particulier:

1e Placer le malade dans une chambre avant tout isolée et silencieuse. Entretenir une température de 18° à 20° C. Le chauffage central, facile à régler, est idéal, si l’on prend la précaution d’éviter le dessèchement de l’atmosphère (récipient d’eau sur le radiateur ou saturateur)

Éviter, si possible, le chauffage au charbon et les poêles à combustion lente (odeurs, dégagement d’oxyde de carbone). Le feu de bois, dans la cheminée, assure une ventilation parfaite, mais nécessite un entretien constant.

Éviter de faire bouillir en permanence des feuilles d’eucalyptus dans une casserole d’eau, ce qui entretient une humidité excessive de l’atmosphère.

Il est nécessaire, quelle que soit la saison, d’aérer la chambre et d’en renouveler l’air. Par temps très chaud, laisser la fenêtre ouverte, en évitant les courants d’air. Par temps plus frais, pour que le malade ne reçoive pas l’air directement, placer un paravent devant la fenêtre ouverte et renouveler l’opération pendant vingt minutes, trois ou quatre fois par jour, ou quelques minutes toutes les heures s’il fait très froid. Avoir soin pendant ce temps de bien couvrir le malade et de s’assurer que les bouillottes de son lit restent bien chaudes;

2e Le lit sera, autant que possible, placé de telle sorte qu’il soit aisément accessible des deux cotés; ne pas le mettre dans un coin de la pièce. Un lit sur pieds est préférable au divan bas;

3e Placer au chevet du lit une petite table recouverte d’un linge blanc (que l’on peut faire bouillir) et sur laquelle on disposera les médicaments et les accessoires nécessaires (thermomètre, seringue, etc.);

4e Débarrasser la chambre de tout meuble inutile ou encombrant; supprimer tapis et tentures, en ne laissant que l’indispensable. Les accessoires d’hygiène (bassin, urinal), soigneusement nettoyés et désinfectés après usage, ne seront pas posés par terre, sous le lit, mais placés sur une table basse, ou un siège recouvert d’un linge, et protégés par une serviette;

5e Si le malade est contagieux, disposer près de la porte les blouses et la cuvette contenant la solution antiseptique pour le lavage des mains;

6e Pour les maladies fébriles, tenir une feuille de température, sur laquelle on consignera les traitements successifs et les incidents divers: elle facilitera la tâche du médecin;

7e Grouper les soins matin et soir, de façon à laisser au malade le plus d’heures possible de repos ininterrompu. Ne jamais l’agiter, ne pas faire de bruit dans sa chambre;

8e Faire à l’aspirateur le ménage des chambres de malade;

9e Si l’on doit changer les draps, se faire aider d’une autre personne et ne pas lever le malade inutilement. Chauffer les nouveaux drapts avant de les rouler sous le malade;

10e Si l’on doit lever le malade, augmenter la chaleur de sa chambre.

Aloha Camp: "Hivers" pile into the beloved "Grasshopper" for an outing in 1955.

La transformation d’une cuisine ancienne

In Tâches domestiques on 3 January 2012 at 09:56

Extrait tiré du livre Larousse Ménager. Publié avec la collaboration de R.-E.-Jeanne Chancrin et de nombreux techniciens. Paris: Librairie Larousse, 1955.

Quelques idées directrices pour la transformation d’une cuisine ancienne − Si l’on veut moderniser une cuisine de conception ancienne, on se trouve souvent en face d’une alternative si l’on est locataire de l’appartement; ou bien il est possible d’exécuter toutes les transformations nécessaires, ou bien les exigences locatives demandent le maintien dans les lieux des éléments de construction.

Il est assez difficile de donner des directives précises pour la transformation d’une cuisine de conception ancienne, car cette conception présente d’infinies variétés. Toutefois, lorsqu’on veut transformer une telle cuisine, il semble que l’on puisse tenir compte des observations suivantes:

1e La première chose à envisager est la possibilité de concentration des postes de travail (épluchage et préparation des aliments, lavage, cuisson et présentation). Il faut donc essayer de rapprocher, avec le moins de dépenses possible, la conduite d’eau et l’évacuation des eaux usées de la source d’énergie utilisée pour les appareils de cuisson. L’installation des surfaces de travail et volumes de rangement se trouvera par la suite facilement réalisable;

2e On devra choisir judicieusement les appareils de cuisson et de production d’eau chaude en fonction de l’énergie à utiliser: gaz ou électricité. Si l’immeuble n’est pas équipé avec le courant force, l’installation particulière de cette forme de courant restant onéreuse, il faut donner la préférence au gaz. Si l’on utilise un appareil à combustible solide, vérifier l’état et le tirage des cheminées;

3e On doit alors prévoir ensuite l’évacuation des buées. Si la cuisine a une hotte, il faut la maintenir (la rajeunir si on en a la possibilité). Toutefois, elle devra être munie d’un ventilateur installé sur le conduit de fumée, qu’elle dissimule toujours. Si l’on utilise une cuisinière à combustible solide, le ventilateur devra, pour bien fonctionner, être placé sur un conduit voisin.

4e Le remplacement par un bloc-éviter d’un vieil évier toujours inconfortable s’impose ensuite, ou bien, sans réaliser cette dépense, on peut enserrer l’évier dans un petit placard moderne;

5e On peut alors, suivant les possibilités budgétaires, refaire les revêtements du sol et des murs, modifier l’étendue des fenêtres, refaire l’installation électrique (devenue dangereuse par ses malfaçons anciennes) selon les conceptions étudiées plus haut;

6e Une disposition nouvelle et rationnelle des appareils d’éclairage permet quelquefois de moderniser rapidement une cuisine. L’éclairage des postes de travail s’impose tout particulièrement, et l’éclairage fluorescent est à recommander;

7e Il ne reste plus qu’à établir les surfaces de travail et les volumes de rangement. Au sujet de ces derniers, certaines cuisines possèdent encore un rayonnage, qui eut une grande vogue. On peut utiliser ces rayonnages en les modernisant par des séparations nouvelles et en les dissimulant par des portes. On peut faire réaliser celles-ci en bois ou en panneaux de contre-plaqué recouvert ou non d’isolant.

On peut trouver aussi dans certaines cuisines des placards profonds fermés par de grandes portes. Il est toujours possible de les aménager rationnellement en les divisant. Ces divisions peuvent être réalisées en retrait dans le fond du placard, fermées par des portes correspondant à chacune d’elles. Les grandes portes peuvent être aménagées pour le rangement des balais, ustensiles d’entretien et se refermer sur le placard lui-même;

8e Enfin, les cuisines de conception très ancienne sont souvent traversées par les conduites d’eau et de gaz, absolument inesthétiques. On peut les dissimuler par un coffrage.

Life in the Willow Village, Ypsilanti, Michigan, 1955.

Gens de maison: les domestiques

In Moeurs, Profession on 2 January 2012 at 13:34

Extrait tiré du livre Les Annales politiques et littéraires, tome quatre-vingt-cinquième. Article d’Yvonne Sarcey (nom de plume de Madeleine Brisson). Paris: Rédaction et Administration, 1925.

Suite à la publication d’une série d’articles à ce sujet dans les numéros des 19 juillet et 2 août 1925:

Quelques maîtresses de maison ont cru que le prenais la défense des domestiques. Dieu m’en garde! …

J’ai simplement constaté que c’était une espèce en train de disparaître et dont on ne retrouverait plus le spécimen qu’à l’état d’exception… La vieille servante d’autrefois, humble, soumise, contente de sa mansarde et de son dur labeur, a vécu. Il en est de son auguste figure comme de ces fiacres traînés par une haridelle dont on regarde la silhouette avec l’attendrissement des vieilles choses en train de disparaître et qu’on aimait. On sait qu’on ne les reverra plus; les moteurs ronflent, les trompes déchirent l’air, la file des taxis s’allonge aux stations, la vitesse règle et dérègle la vie moderne. Ceci a tué cela … Le pauvre fiacre trottinant, son vieux cocher à la trogne rougie par le vent, ruisselant du haut de son siège sous ses triples pèlerines, ne s’adapte plus aux mœurs… Il circule encore, à l’ébahissement des enfants; mais, demain, le dernier fiacre ira se ranger en quelque musée rétrospectif, aux côtés de la berline ou de la diligence, pas loin de la chaise à porteurs, et la foule, le dimanche, regardera la relique avec des yeux étonnés, et jugera cette boîte suspendue sur quatre roues d’un comique irrésistible.

Ainsi, peut-être, en va-t-il des domestiques d’antan…

Il surgit à l’heure présente, dans nos ménages, des personnes explosives frappées du mal du siècle: l’indépendance… Sans culture, sans éducation, elles foncent comme des énergumènes dans cette voie sacrée de la liberté où tout le monde se précipite, et s’y montrent pour la plupart maladroites ou insolentes. Mais le fait essentiel, impossible à nier, c’est qu’elles y sont, et elles ne retourneront pas plus à leur esclavage d’hier que nos filles ne reviendront à leur petite broderie, rêver, sous la lampe à pétrole, au beau jeune homme qui les enlèvera… Il faut donc s’arranger, trouver un terrain d’accommodements, faire reculer d’un pas les excitées, et avancer au-devant celles, plus dignes, qui ne demandent qu’un peu de mieux-être et leur part de liberté… Car, ne l’oublions pas, une évolution formidable a créé un esprit nouveau, des besoins autres, une conception de la vie totalement différente… Et se lamenter sur ce qui n’est plus, regretter les bonnes d’autrefois, le respect de jadis, les habitudes de ma grand’mère, c’est s’agiter dans le néant et parler pour ne rien dire… S’adapter pour n’avoir pas à abdiquer, voilà qui me semble plus sage et peut-être plus adroit.

Or, nos filles ont cru, en prenant bachots et licences, se libérer des soucis matériels. Grande méprise! Elles n’avaient pas prévue que, pendant qu’elles s’évadaient par le travail, la classe au-dessous, par un rythme identique, répondait aux mêmes secrètes aspirations, cherchait également à s’affranchir… Et tout à coup ces intellectuelles, éprises de leur métier, ou ces jeunes mondaines, affolées de dancings, n’ont plus trouvé personne pour les servir. Et leur rencontre: maîtres et domestiques nouveau jeu, fut catastrophique. Ici, on ne savait plus commander; là, on ne voulait plus obéir. Et, comme toujours, les vieux ont payé les pots cassés…

Washington, D.C. American Nature Association. Monday September 14th, 1925. National Photo Company Collection glass negative.

Mademoiselle

In Moeurs, Statut légal on 1 January 2012 at 10:29

Extrait tiré du livre Les Annales politiques et littéraires, tome quatre-vingt-cinquième. Article d’Yvonne Sarcey (nom de plume de Madeleine Brisson). Paris: Rédaction et Administration, 1925.

Une ligue pour l’Amélioration de la Femme, Gallia, suggère une proposition, en somme, très défendable…

Pourquoi, en effet, ce titre éternel de «Mademoiselle», qui marque le printemps de la vie et poursuit ironiquement de sa jeunesse d’honorables vieilles filles aux cheveux blanchis?… Pourquoi apprendre au monde qu’elles n’ont pas d’époux et marquer leur virginité d’une sorte de déchéance?… En nommant un homme «Monsieur», son état civil reste intact et vous n’avez pas l’indiscrétion de signifier à tous qu’il est marié ou à marier; au contraire, en appelant «Mademoiselle» une personne mûrissante, vous étiquetez son célibat et faites irruption dans le domaine de la vie privée.

Maintenant, toutes les bachelières savent parfaitement que «Mademoiselle» vient du latin domicella, et veut dire «jeune maîtresse». Elles sont les premières à penser que ce titre sied à leurs joues en fleur, à leurs vertes espérances, à leur grâce d’étudiante, mais ne convient plus autant aux aînées: les personnes importantes qui ont pris du grade, de leur compétence, le sens de la liberté, et, au fur et à mesure des années, le sentiment de leur valeur.

«Mademoiselle» explique-t-îl tout cela?… Pas du tout… Est-ce un hommage, un signe de déférence? Aux yeux du public, «Mademoiselle» traduit seulement le désert du cœur, le célibat, — imposé ou consenti, peu importe! — en un mot, l’absence de l’amour, cette déclaration de la loi de l’homme est-elle bien nécessaire?

(…)

Car on les regardait vieillir, ces tristes vieilles filles, et s’abîmer dans le reflet d’un rêve éteint. De toutes leurs ferveurs retombées, on fabriquait leurs petits ridicules. Le silence de leurs sourires, le mystère voilé de leurs déceptions, la nuit de leur bonheur, servaient de prétexte à mille traits d’esprit… «Mépris, honte», avait osé écrire le grand Corneille parlant de leur chaste vieillesse… L’opinion et le monde ratifiaient l’horrible préjugé.

Ah! qu’aujourd’hui les femmes célibataires vivent dans un temps plus heureux! Elles en abusent même et tirent furieusement honneur d’une indépendance parfois excessive. «Ni chaînes ni mariage», déclarent ces «dragons» férus de liberté… En quoi elles ont tort. Le mariage restera toujours le but sacré de la jeunesse…

(…)

L’appellation juvénile de «Mademoiselle», qui vient fixer dans la mémoire des indifférents un état d’innocence et de célibat ne regardant guère que la famille, n’a plus, aujourd’hui, sa raison d’être. Et comme toute chose vient en son temps et que chacune naît de son besoin, je ne doute point que bientôt, très naturellement, et parce que cela est logique et conforme aux nécessités modernes, les femmes ayant dépassé l’âge des études et des amourettes, et ayant par leur travail conquis une notoriété quelconque, ne soient enfin appelées «Madame».

Ainsi — l’ordre établi et l’harmonie respectée — finira l’histoire des vieilles filles…

— En ce temps là (conteront alors des dames aux cheveux de neige à des petits enfants qui les écouteront, étonnées), en ce temps-là, il y avait sur la terre des personnes très malheureuses. Une méchante fée n’avait point permis qu’aucun homme les aimât. On les appelait des «demoiselles» et, jusqu’à ce qu’elles mourussent de vieillesse ou de désolation, il fallait qu’elles supportassent ce titre qui faisait rire, parce qu’on le leur donnait bien longtemps après que, n’étant plus aimables ni aimées, leur mine contrite montrait qu’elles eussent souhaité un autre sort. Etc., etc…

Et ce sera le temps heureux où les «Mademoiselle» auront toutes vingt ans…

Helen Tredway Graham, scientifique américaine. 1925. "Graham conducted research on nerve physiology early in her career. At age 60, she switched her research interests to study histamine. She discovered its function in mast cells and developed sensitive methods for its measurement."