Extrait tiré d’un missel imprimé par J.E. Card. Van Roey, Arch. Mechlin. Belgique. 1958.
Épitre de S. Paul aux Éphésiens 5, 22-23
Frères: Que les femmes soient soumises à leur maris, comme au Seigneur; car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l’Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l’Église est soumise au Christ, de même aussi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses. Vous, maris, aimez vos femmes, comme le Christ, lui aussi, a aimé son Église, et s’est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier, après l’avoir purifiée dans le baptême de l’eau par la parole de vie, pour se la présenter à lui-même comme une Église glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, étant sainte et immaculée. De même les maris doivent aussi aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme, s’aime lui-même. Car jamais personne n’a haï sa propre chair. Mais il la nourrit et la soigne, comme le Christ fait pour l’Église, parce que nous sommes les membres de son corps, formés de sa chair et de ses os. C’est pourquoi l’homme abandonnera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils seront deux dans une seule chair. Ce mystère est grand: je veux dire par rapport au Christ et à l’Église. Aussi, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.
GRADUEL Ps. 127, 4 — Ton épouse sera semblable à la treille, jeune et féconde, à l’intérieur de ta maison. Tes enfants seront comme de jeunes plants d’olivier autour de la table.